En entrant dans la forêt la plus obscure du coin, on ne pouvait trouver aucun signe de vie humaine. Pourtant, c'était bien dans cet endroit où Maître Nakano se cachait. Personne, au sol, ne pouvait remarquer une ombre aussi rapide que le tonnerre sauter d'arbres en arbres. Cette ombre suivait un étranger. Enfin, Maître Nakano suivait un homme dans la fin vingtaine se promener dans cette forêt.

« C'est un faible, » pensa-t-il en épiant secrètement l'étranger dans son domaine.

Celui-ci le cherchait assurément. Nakano le laissa faire un moment et après que sa propre patience s'était assez aiguisée, il lança à l'étranger quelques phrases. On aurait dit que sa voix, prenant écho, venait de toutes les directions.

« Tu as fait une erreur en me choisissant, étranger. Je ne connais pas grand chose. Il n'est pas trop tard pour reculer. Il y avait d'autres noms sur la liste des maîtres, n'est-ce pas? Je ne suis pas le plus fort ni le plus instruit. »

Nakano attendit une réponse. Cependant, sa vraie nature l'emporta. Il essayait toujours de prendre un autre rôle que le sien, celui d'un maître exemplaire. Mais voilà, ce n'était pas du tout son genre. Au moins, il avait essayé.

« Par contre, » ajouta-t-il aussitôt. « Je n'ai pas d'apprenti en ce moment et je suis toujours partant pour enseigner mon art. Je suis un ninja exilé, après tout. »

Et soudain, le maître se révéla, le corps à l'envers. On ne pouvait voir que ses yeux, le reste était camouflé par le costume cliché des ninjas. Il était suspendu, comme une chauve-souri, à une branche. Sans avoir encore examiné l'étranger, Nakano tendit la main.

« Cela te fera seulement 20 pièces d'or. »

Roch Thibault s'était réveillé avant le le premier rayon de soleil. Il était dans une forêt sombre. À non c'est vrai c'est la nuit! Bon recapitulons: Roch s'est reiveillé dans les petites heures du matin dans une forêt qui était majoritairement composé de feuillus.

Dans le désespoir, Roch s'est mit a marcher pour trouver s'il s'en souvient bien un certain maître Nakano. Plus en plus qui progressait, plus en plus la forêt devennait sombre malgré le soleil qui se levait. Mais comment ce Nakano allait-il le trouver? Il était dans une forêt perdu et l'univers de GAME OVER était si vaste qu'il était si facile. On avait dit à Roch que plus d'un million de personnes sont prisent dans le jeu et il n'en avait croisé aucune!

Soudain, une voix retentit:

- Tu as fait une erreur en me choisissant, étranger. Je ne connais pas grand chose. Il n'est pas trop tard pour reculer. Il y avait d'autres noms sur la liste des maîtres, n'est-ce pas? Je ne suis pas le plus fort ni le plus instruit.

- Enfin! s'écria M.Thibault, le maitre Nakano incarné. Vous savez que même si, comme vous le dîtes, vous n'êtes pas le plus fort ni le plus instruit je vous est choisi et vous devriez être un peu plus sympatique car on dirait que vous me dîtes dans la face: Pourquoi m'avez vous choisi? À cause de ça je dois me lever de mon lit.

Après cette parole, Roch s'entit qu'il avait mal parlé et que le maitre allait partir mais à la grande surprise il répondit:

- Par contre, je n'ai pas d'apprenti en ce moment et je suis toujours partant pour enseigner mon art. Je suis un ninja exilé, après tout.

Roch n'en croyait pas ses oreilles. Est-ce une autre personne? Mais non c'est encore ce Maitre Nakano. On dirait qu'il venait de changer de personnailité. Au moins il était plus ouvert.

- J'accepte votre demande, répondit Roch, Mais je voudrait savoir les conditions.

- Cela te fera seulement 20 pièces d'or.

- Parfait. Je vous donnerai 20 pièces d'or après mon enseignement.

Après avoir reçu la confirmation maitre Nakano se mit à marcher.

« Ou allons nous ? »

Maitre Nakano et son aprenti s'enfonçaient dans une forêt de plus en plus dense et plus vivante que la dernière car Roch aperçu au loins un lièvre. Après quelque minutes de marche ils arrivèrent à une sorte de place avec un rond de feu et quelques bancs. Roch Thibault prit la parole:

« J'imagine qu'avec vous je vais apprendre les arts martiaux, le katana et plein de chause comme ça? »

Nakano regarda son nouvel apprenti. Il venait de l'emmener à son campement secret. Le maître était excité à l'idée de s'être faite 20 pièces d'or légalement, mais il se rendit rapidement compte que ce serait peut-être beaucoup plus de travail qu'illégalement.

« Tu poses trop de question. »

Il s'assit près du feu et prit une branche pour le raviver. Il dévoila ensuite une partie de son visage (des yeux jusqu'au menton). Son sourire narquois trahit ce qu'il allait dire.

« Je me nomme Maître Nakano, comme tu dois le savoir déjà. Malheureusement, je suis exilé, alors il est difficile pour moi de vivre une vie convenable. Alors, que dirais-tu de venir avec moi chercher un bon poulet au village, hein? Bien sûr, nous le volerons, puisque je n'ai pas une cenne sur moi. À moins que tu suggères de me le payer? »

Les yeux de Nakano brillèrent. Jadis, c'était un homme réputé pour sa force de combat et son habilité experte à tuer. Il était le meilleur ninja jamais connu. Il vivait dans un village avec son clan, mais il a été rapidement chassé à cause de son comportement. Malheureusement pour lui, Nakano avait tendance à toujours dévoilé des secrets de son clan, à dire des noms, des lieux... Il serait l'arme à tuer parfaite si ce n'était que de son comportement. Bien sûr, le maître des arts martiaux cherchaient trop souvent la gloire et était un homme avare. Ce n'était que lorsque ses motifs n'étaient que pour l'or qu'on a définitivement perdu confiance en lui. Le chef de son village lui avait dit que si il n'avait qu'un peu de loyauté pour son clan, il s'exilerait pour de bon. Mais en chemin vers cette forêt perdue, il apprit qu'il pouvait donner son nom pour enseigner à des inexpérimentés venant de partout au monde. Au début, la proposition ne lui plaisait pas trop, jusqu'à ce que la mention de récompense de pièces d'or soit mentionnée.

Malgré sa promesse faite à son chef de clan, Nakano racontait librement son histoire à chaque nouvel apprenti. Et c'est ce qu'il faisait aujourd'hui. Après avoir tout dit, il prit une grande inspiration et sourit. Quelques cheveux noirs lui tombèrent sur le visage.

« Alors, le grand, on y va à ce village, oui ou non? On a beau vouloir commencer en entraînement, la nuit tombe et moi j'ai faim! » Et le maître ajouta à lui-même : « Tu es tombé parfaitement en temps. »

« D'accord, mais je ne donne pas plus que 5 pièces d'or. »

Nakano était aux anges! Peut-être pourra-t-il retirer plus d'argent de son apprenti qu'il le croyait. Ou peut-être pas, puisqu'il était volontaire pour aller chasser.

« Au fait, c'est quoi ton nom? » demanda-t-il en se plissant le nez

Le maître avait plusieurs tics, dont se plisser le nez se gratter la tête. En posant une question, il se plissait le nez, et lorsqu'il y avait un silence, il se grattait la tête. Alors, en conduisant son apprenti jusqu'à l'extrémité de la forêt, il se grattait la tête. En sortant de la forêt, ils prirent un chemin qui menait à un petit village assez grand pour y avoir un boucher. Du moins, c'est ce qu'espérait Nakano.

En arrivant, tous les regardèrent, puisqu'ils étaient étrangers. Avec seulement son odorat, il put trouver rapidement la demeure du boucher. Il cogna à deux reprises. Le soleil venait de se coucher.

« Boucher! Est-ce qu'il te reste de la viande à vendre? »

« Non, je mange la dernière biche avec ma femme ce soir, » répondit poliment le boucher en ouvrant la porte.

« Alors, nous avons au moins cinq pièces d'or! Pouvons-nous rejoindre votre souper? » insista Nakano comme un petit garçon.

Le boucher allait répondre à l'affirmative lorsqu'il vit le costume du maître.

« Mais vous êtes un ninja! Vous voulez me tuer, c'est ça? » se méfia-t-il en reculant et en pâlissant.

« Non, à moins que vous nous refusiez ce magnifique repas dont vous nous avez parlé, » répondit le ninja en changeant d'attitude complètement.

« Alors... entrez, mais s'il-vous-plaît! Ma femme est enceinte, ne nous faites pas de mal! »

Nakano entra, suivit de son apprenti. Il se retourna pour faire un clin d'oeil à ce dernier. Le maître se dit alors que peut-être ces cinq pièces d'or n'étaient pas tout à fait perdues...

- Au fait, c'est quoi ton nom? demanda le maitre en se plissant le nez.

- Mon nom est Roch Thibault, répondit l'apprenti. J'imagine que vous ne connaissez pas de ninja avec tel le mien?

Nakano et Thibault prirent le chemin vers le village. Le maitre Nakano n'arrêtais pas de se gratter la tête. Peut-être avait-il un problème de cheveux? Il arriva enfin et l'orée de la forêt et le sentier qu'ils empruntait se divisait en deux. Après une seconde d'hésitation, Nakano prit celui de droite et Roch le suivit en espérant qu'il ne faisait pas que choisir un des deux chemins par hasard.

Ils arrivèrent au village et tous les habitants, qui était hors de leur maison, les regardèrent bizarrement. Roch les comprenait un peu car c'est un peu étrange de voir un ninja et un monsieur à cravate arriver de la forêt. En plus, pour trouver le boucher, le maitre Nakano monta son nez dans les airs et renifla comme un chien qui cherche son os. Pas besoin de faire se geste bizarre car a respiration normal, Roch repéra le boucher facilement. Nakano, qui, lui aussi, l'avait repéré marcha à bon pas vers la maisonnette du boucher.

- Boucher! Est-ce qu'il te reste de la viande à vendre? demanda ce dernier.

- Non, je mange la dernière biche avec ma femme ce soir, » répondit poliment le boucher en ouvrant la porte.

- Alors, nous avons au moins cinq pièces d'or! Pouvons-nous rejoindre votre souper? insista Nakano comme un petit garçon.

Soudainement, le boucher regarda les habits du maitre Nakano et prononça:

- Mais vous êtes un ninja! Vous voulez me tuer, c'est ça?

Roch faillit éclater de rire. Le maitre avait l'air si bizarre et un peu enfantin et lui, il avait peur de lui! Mais Roch se calma en se disant qu'il n'avait pas vu son maitre en action.

- Non, à moins que vous nous refusiez ce magnifique repas dont vous nous avez parlé, répondit le ninja

Ceci était la réponse que Roch espérait. Lui aussi il avait faim. Le boucher fit entrer le maitre et son apprenti et referma la porte. Nakano se retourna et fit un clin d'oeil. Roch se réjoua car il n'avait pas perdu car ses 5 pièces d'or n'était pas encore perdu.

Pendant le repas Roch n'eut aucune occasion de parler au début le boucher et sa femme raconta la petite histoire de leur petit voyage qu'il avaient fait. Par la suite, le maitre Nakano raconta son
i-n-t-e-r-m-i-n-a-b-l-e histoire

À la fin du repas Roch déclara qu'il était temps de partir car il était tanné d'entendre les histoires de Nakano. Il était à peut près minuit. Lorsque Nakano sortit de la maisonnette Roch lui demanda:

- Bon sa fait un jour que tu est mon maitre et tu ma rien enseigner.

« Bon sa fait un jour que tu est mon maitre et tu ma rien enseigner. »

Nakano répondit à la plainte de Roch par un simple haussement d'épaules. Ils avaient encore du temps. Son ventre était plein et il en était réjoui! De plus, Roch n'avait pas eu besoin de donner les cinq pièces d'or, puisque le boucher avait si peur du ninja qu'il n'osa les réclamer. Certes, si Nakano voulait ravoir ces pièces d'or, il fallait que l'entraînement dure au moins jusqu'au prochain soir...

« Eh bien, si tu es si pressé, commence donc par choisir la forme de combat que tu veux apprendre, » dit le maître en se dirigeant vers la forêt avec son apprenti. C'était en pensant au 20 pièces d'or que Nakano fut inspiré pour choisir les trois formes d'enseignement qu'il proposerait à Roch. « Je connais plusieurs choses dans le domaine du ninja, mais tu n'as le choix que dans ceux que je vais te proposer. Tu ne peux qu'en choisir un, sinon, ce sera trop long pour tout apprendre! Tu reviendras quand bon te semblera lorsque tu voudras apprendre le reste (et t'apportera des pièces d'or avec ça...). Alors, je suis expert pour l'invisibilité/vitesse extrême. Je peux aller si vite que l'on croit que je disparaît. Parfois, j'ai moi-même l'impression que je me téléporte d'un kilomètre à l'autre! Sinon, je peux t'apprendre l'art de lancer des couteaux, des poignards, des petites armes, les griffes, etc. Ou je peux te montrer l'art du Ninjato, l'épée des ninja. Que veux-tu? »

Tout en parlant, le maître voulait expliquer en détails qu'étaient ces armes. Malgré ses défauts, Nakano adorait son art. Il avait une passion pour toutes ces formes de combat. Le meilleur, c'était la combinaison des trois, mais pour cela, Roch faudra venir voir Nakano pour les trois spécialisations qu'il allait faire. Nakano souhaitait vraiment recevoir les pièces d'or. Il était même en train de se dire qu'il devrait demander les pièces d'or avant d'enseigner, ainsi... peu importe ce qu'il arrive, il allait avoir l'argent...

Le maître et l'apprenti arrivèrent devant le campement. Il ne restait qu'à Roch de choisir pour pouvoir commencer l'entraînement qui durera peut-être toute la nuit, qui sait...

Le maitre ne semblait vraiment pas presser. Lorsque Roch lui avait demander quand est-ce qu'il allait commencer, le maitre Nakano haussa les épaules. Tous semblait perdu pour Roch jusqu'à tant que le maitre dit:

« Eh bien, si tu es si pressé, commence donc par choisir la forme de combat que tu veux apprendre, » dit le maître en se dirigeant vers la forêt avec son apprenti. C'était en pensant au 20 pièces d'or que Nakano fut inspiré pour choisir les trois formes d'enseignement qu'il proposerait à Roch. « Je connais plusieurs choses dans le domaine du ninja, mais tu n'as le choix que dans ceux que je vais te proposer. Tu ne peux qu'en choisir un, sinon, ce sera trop long pour tout apprendre! Tu reviendras quand bon te semblera lorsque tu voudras apprendre le reste (et t'apportera des pièces d'or avec ça...). Alors, je suis expert pour l'invisibilité/vitesse extrême. Je peux aller si vite que l'on croit que je disparaît. Parfois, j'ai moi-même l'impression que je me téléporte d'un kilomètre à l'autre! Sinon, je peux t'apprendre l'art de lancer des couteaux, des poignards, des petites armes, les griffes, etc. Ou je peux te montrer l'art du Ninjato, l'épée des ninja. Que veux-tu? »

En voila des informations! Roch aimerait apprendre tous c'est habileté du ninja mais il pouvait qu'en choisir une. Il réfléchissait à ce qu'il allait choisir et c'était difficile. En pensant à la téléportation, qu'il ne comprenait pas vraiment, il se disait qu'en moment de danger il portait que disparaitre. Mais la téléportation est de la vitesse extrême. Roch ne comprenait pas trop et lessa tomber cette vitesse extrême. En plus, Roch voulait une arme. L'épée est du ninja, le Ninjato, fascinait Roch. Selon lui, c'est comme l'épée des samouraï et un peu ressemblante à celle des escrimeurs. En se demandant s'est quoi, Roch regarda à la ceinture du maitre Nakano et remarqua une épée ressemblante à celle-ci:


Ceci était vraiment une arme intéressante. Roch espérait que les ninjas la manie avec de grand mouvement et avec des gestes un peu " Show-off " pour impressionné c'est ennemi. Les couteaux, les poignard, les griffes et plein d'autres petite armes. Ça semblait intéressent. Roch regardait souvent le canal de sports à la télévision. Parfois il passait des tournois de dart avec des couteaux. Roch se disait toujours, c'est quand il n'ont rien à mettre mais il était pareil fasciné par l'art du lancé du couteau. Finalement si on prend ça simple c'est prendre un couteau par la lame, viser quelque par assez loin et le lancer. Mais Roch voyait ça différemment. Il était impressionné par le nombre de flip/tours sur lui même l'arme faisait avant l'arrivé de sa destination.

La décision était difficile. L'art du Ninjato, lui aussi, impressionnait Roch. Finalement tout l'arts du nija l'impressionnait. C'est alors que Roch réalisa, même si il avait de mince connaissance sur les ninjas, que Nakano avait oublié les arts martiaux. À moins que les ninjas n'en faisait pas. Alors, après quelque minute de questionnement, Roch finit finalement pas choisir le lancer du couteau, poignards, petites armes etc...

Arrivé au campement, Roch s'assit sur le banc faites en tronc d'arbres et déclara:

- J'ai choisi le lancé des couteaux. Il prit un moment de silence et rajouta. - Et je veux commencé l'entrainement maintenant.

Roch voulait en finir vites pour ne pas dépenser d'autres pièces.

Nakano n'aimait vraiment pas les tonnes de questions que posait Roch. Finalement, il choisit le lancé des petites armes. Pratique. C'était assez simple connaître le tour pour chaque, mais à la longue, cela faisait aussi long que d'apprendre le Ninjato.

« Et je veux commencer l'entraînement maintenant, » ordonna Roch avec impatience.

Le sourcil du maître se leva avec surprise. Il se faisait déjà tard et il aimait par dessus tout un bon repos après un bon repas. Par contre, plus vite ils commençaient, plus vite les vingt pièces d'or... En plus, il restait toujours ces cinq pièces d'or de Roch Thibault dans sa poche. Nakano soupira et s'assit en face de son apprenti. Il fallait faire des compromis dans la vie, se dit-il en se grattant la tête.

« Tu n'es pas fatigué? Tu ne veux pas être en forme pour demain? Moi, le sommeil est tellement présent dans mon corps que j'ai peur de m'endormir au milieu d'une phrase. »

Voyant que ses paroles ne firent pas l'effet désiré, le maître, exaspéré, grogna en sortant des ses nombreuses poches de son costume, une panoplie d'armes. Il décida qu'il allait seulement expliquer ce qu'elles étaient et qu'ensuite, le lit sera sa récompense. Nakano prit en premier son kamayari.

« Cette lance à crochet se nomme kamayari. Elle est autant utile pour s'accrocher à un objet que d'attaquer un adversaire de loin. Il te faudra être capable d'enfoncer les pointes dans un arbre à une distance d'une dizaine de maître. Ensuite, il te faudra être capable de désarmé ton adversaire à distance avec. »

Ensuite, le maître montra à son apprenti des griffes situées sous la semelle de ses chaussures.

« Voici des ashikos. Elles servent principalement à monter dans les arbres et à éviter de glisser dans des pentes. Elle sont aussi utiles en attaque. Un bon coup de pied peut défigurer le visage pour le restant de ses jours. »

Finalement, le maître prit les petites armes à tour de rôle en les admirant comme si c'étaient ses propres enfants.

« Les ninjas transportent toujours avec eux beaucoup de kunaï. Elles sont très utiles. Nous les lançons à nos ennemis. Si tu es capable d'en lancer quinze en moins de cinq secondes, c'est que tu as compris la base. Il faut avoir une expertise et une précision dans nos lancer. Ils doivent toujours atterrir là où on a visé. Ah! Voici d'autres griffes, tegaki. Ce sont des griffes que l'on porte sur la paume et que l'on utilise à combat mains nues. Elles sont aussi pratiques pour bloquer les sabres. Ces trois armes traditionnelles ici se nomment makibishi. Elles servent à empêcher un ennemi de te suivre. Tu vois ces clous? Il y en a quatre et ils sont tranchants. Finalement, il y a le nunchaku, l'arme à deux bâtons reliés d'une chaîne. Ce que tu vois, je te le donne. Toutes ces armes sont maintenant à toi. »

Exagérant un bâillement, Nakano se leva et s'étira. Il sourit à Roch avec un air de défi. Ensuite, il tourna les talons pour aller dormir dans sa tente. Une deuxième avait été construite pour son apprenti. Toutefois, avant d'entrer à l'intérieur, il lança à Roch sans même se retourner :

« Si tu réussis à grimper jusqu'au sommet d'un arbre sans utiliser tes mains, et si tu es capable de lancer et d'enfoncer un kamayari à une distance de cinq mètres dès demain matin, je te ferai un petit spécial et je te donnerai une autre technique qui ne se situe pas dans tout ce que je viens de dire. »

Avec un simple salut de la main, Maître Nakano entra dans sa tente, s'équipa de nouvelles armes et s'enroula dans sa couverture. En moins de trois moutons comptés, il dormait déjà paisiblement. Par contre, un ninja ne dort que sur une oreille...

Roch Se faisait expliquer toutes les armes par le fameux maitre Nakano. Ce dernier l'expliquait avec une telle précision que sens l'avoir vu une fois, Roch aurait été capable de bien les voir dans sa tête. Le maitre Nakano était vraiment un passionné de son art. Toutes les armes semblait être sa préféré. On dirait que c'était ses bébé tellement qui les aimait et on dirait qu'il les avait utilisés pour toutes évènement et circonstance.

Nakano commença par expliquer le kamayari. Roch avait déjà entendu un peu parler de cette arme. C'était comme un lance de chevalier que la lame ressemblait un peu à une fleur de lys. Le ninja disait quelle était utile à attaquer quelqu'un de loin et pour désarmer son adversaire.

Spoiler:

Les ashikos. C'était la prochaine arme de Nakano. Les ashikos était des petites griffes qu'on mettait sous ses pieds. Ça ressemblait à des crampons fait en lames coupantes. Elles était utile pour monter dans les arbres et monter des pentes.

Spoiler:

Les kunaï était les sortes de petits couteaux des ninjas. Le maitre Nakano disait qu'en lancer quinze en 5 secondes était la base et Roch trouvait ça exagérer.

Spoiler:

Ensuite, Nakano expliqua d'autres petite griffes. Les tegaki. C,était de petites griffes qu'on installe sur nos paumes de mains. On les utilisait pour les combat à main nue et pour bloquer les sabres.

Spoiler:

Les makibishi était des sortes de clous qu'on mettait par terre. Quand quelqu'un te suivait, tu les laissait tomber et il pilait dedans.

Spoiler:

La dernière arme de Nakano était le nunchaku qui était une arme beaucoup plus populaires que les autres. C'était simplement deux bâtons relié par une chaine.

Spoiler:

Après tous ses explications, le maitre Nakano alla se coucher. Juste avant de rentrer dans sa tente il lança à Roch:

- Si tu réussis à grimper jusqu'au sommet d'un arbre sans utiliser tes mains, et si tu es capable de lancer et d'enfoncer un kamayari à une distance de cinq mètres dès demain matin, je te ferai un petit spécial et je te donnerai une autre technique qui ne se situe pas dans tout ce que je viens de dire.

- Je le ferai, dit Roch avec assurance.

Roch était convaincant de la manière qu'il parlait mais pas celle de l'intérieur. Monter un arbre sans ses mains! Roch avait de la difficulté il y a un an à monter un arbre. Maintenant, il était capable mais pas parfaitement. Sans les ashikos, se serait réellement impossible. Mais même avec les petites griffes c'était tout un défi.

Pensant que monter l'arbre était plus épuisant et demandant, Roch commença par cela et installa ses ashikos. Il devait trouver un arbre de grandeur moyenne et les arbres de cette forêt perdue variait entre 7 à 13 mètres. Trouvant un arbre d'environ 9,5 mètres, Roch prit un kunaï et dessina une croix sur son écorce. Il recula de quelque pas, se mit en position de départ et fonça vers l'arbre. À environ un mètre de l'arbre, il sauta et se mit en position horizontale. Les ashikos était ultra pratique mais Roch manquait d'entraînement. À à peine 2 mètres du sol, il retomba par terre sur les fesses. Cela faisait une douleur atroce au coccyx. Roch réessaya deux fois de plus et les résultat était les mêmes. Alors, il se mit à regarder l'arbre. à environ 4 mètres, il avait une branche qui partait du tron central. Alors, Roch s'approcha très proche de l'arbre et prit son temps pour bien accrocher son pied pour que les lames de l'ashikos pénètres dans l'écorce. Ensuite, il se donna une pousser terriblement forte qu'il arriva à trois mètres de hauteur. Alors, pour la suite, il prit sa première technique pour allez jusqu'à l'intersection de branche. Enfin, il avait passé la partie difficile. La suite était comme monter un escalier très croche mais, il ne pouvait pas utiliser ses mains. Il monta sans difficulté jusqu'en haut. Il avait RÉUSSI! Le deuxième coup, il réussi encore. Le troisième, non. Le quatrième et les prochains, oui.

Bon, c'était au tours du kamayari. Roch retira ses ashikos et choisi un arbre normal. Il prit un kunaï et cette fois, traça un rond. L'apprenti ninja s'empara de la petite lance, le kamayari et se plaça à une distance de 3 mètres de l'arbre. Le kamayari avait un pois équilibré et la pointe était bien aiguisé. Ce sont tous des bonus. Par conséquent, Roch, qui était tomber sur son bras lors du défi précédant, avait une douleur atroce au bras droit. Il fit son premier tir et le kamayari rebondit il ressaya plusieurs fois avant de réaliser que le kamayari ne pouvait pas pénétrer dans l'arbre à cause qu'il n'avait pas assez d'espace. Alors il fallait le lancer en cigare comme un ballon de football américain. Le premier coup que Roch essaya. Le kamayari pénétra presque. Les autres pénétraient tous. Fatigué, il alla ce coucher.

Roch dormit selon lui 2 heures ou 3 car le soleil était presque lever. Malgré qu'il n'avait pas dormi beaucoup, il était en pleine forme. Nakano dormait encore. Alors il monta un arbre et lança un kamayari, monta un arbre et lança un kamayari... Ainsi de suite. C'est alors que Nakano sortit de sa tante tout de suite, Roch lui dit de venir. Il monta un arbre parfaitement et fit un super beau lancer de kamayari. Ensuite, il demanda:

- Est-ce bien?

« Si c'est bien? »

Nakano fit une mine songeur en mettant son pouce sur son menton. Il était impressionné par le travail acheminé par son apprenti. Non seulement avait-il réussi de grimper l'arbre sans mains, chose que le maître considérait une tâche facile, mais il plantait avec vigueur le kamayari dans un tronc avec la distance exigée. Nakano pensa que Roch devait être quelqu'un de sportif afin d'apprendre aussi facilement.

« C'est très bien. Tu auras la récompense que je t'ai promise. C'est-à-dire, une autre technique sympa. »

Tout en parlant, Nakano se rendit dans sa tente et sortit une paire de chaussure. Il sourit en les voyant et les tendit à son apprenti. Ce qui était particulier de ces chaussures, c'était qu'il y avait des flotteurs attachés autour par une plateforme située en-dessous du pied. La taille des flotteurs n'étaient pas embêtante, mais parfaite.

« Voici des mizugumo. Ce sont des souliers spéciaux que les ninjas ont. Ces souliers servent à marcher sur l'eau. C'est un spécial, peut-être te seront-ils utiles? N'empêche! Cela veut dire qu'il faut que tu t'entraînes aussi avec ces chaussures. Si tu n'es pas capable, je te les reprend. »

Maître Nakano bailla. C'était l'heure de son déjeuner. Il toucha au fond de sa poche les cinq pièces d'or que Roch avait donné, mais qu'Ils n'avaient pas utilisées. Son ventre gargouilla.

« Je ne peux pas commencer l'entraînement avant de manger! En plus, si toi tu ne manges pas, tu risques de t'évanouir. N'est-ce pas toi qui t'exerce? Alors, tu as le choix, mon apprenti. Chasse ou village? »

Évidemment, le maître souhaitait le village comme réponse. Par contre, il doutait fort que Roch succombe comme lui au désir d'un bon repas préparé par de bonnes femmes. Maintenant, son apprenti savait utiliser le kamayari qui, autant n'être pas un instrument de chasse, permettrait de tuer un animal. Nakano soupira. Peut-être aurait-il du attendre ce matin pour tout lui donner ces armes? Non. Le plus vite terminé, le plus vite les pièces d'or!

- C'est très bien. Tu auras la récompense que je t'ai promise. C'est-à-dire, une autre technique sympa. dit Nakano.

- Merci! Merci Beaucoup! répondit Roch.

Roch était tout excité! Déjà qu'il avait capoter sur les premières armes de Nakano, il lui en allait donner une autre! Le maitre Nakano sortit ne paire de chaussure spéciale. C'était des chaussures flottantes!

- Voici des mizugumo. Ce sont des souliers spéciaux que les ninjas ont. Ces souliers servent à marcher sur l'eau. C'est un spécial, peut-être te seront-ils utiles? N'empêche! Cela veut dire qu'il faut que tu t'entraînes aussi avec ces chaussures. Si tu n'es pas capable, je te les reprend.

Roch prit les mizugumo. Il trouvait que cette objets était une merveille. Il pouvait flotter, ils étaient fin et léger. Roch n'en croyait pas ses yeux il allait marcher sur l'eau comme Jésus! Les mizugumo était plus athlétique que c'est ancien souliers alors il les chaussa dans ses pieds.

- Je ne peux pas commencer l'entraînement avant de manger! En plus, si toi tu ne manges pas, tu risques de t'évanouir. N'est-ce pas toi qui t'exerce? Alors, tu as le choix, mon apprenti. Chasse ou village?

Roch réfléchit un moment et déclara:

- Tu sais, contrairement à ce que tu pense, on va aller au village. En même temps c'est pour te dire merci. Mais, il y a une condition. On va faire comme hier, sinon c'est la chasse.

Le maitre Nakano semblait content de la réponse de son apprenti. Ce dernier et le ninja, prirent la route vers le village. En cours de route, Roch se pratiquait à faire tourner des kunaï dans ses doits, simple histoire pour prouve qu'il était un apprenti ninja. Il devait montrer ses armes. Alors, sur l'index de sa main droite, il faisait tourner un kunaï. Dans sa main gauche, il jonglait avec ses makibishi. Ensuite, il rangea son kunaï et ses makibishi pour sortir son nunchaku et le faire tourner.

Arrivé au village, Roch commença ses démonstrations. Par leur odorat, les ninjas trouvèrent une maison qui semblait avoir un repas appétissant. S'avançant, Roch cogna à la porte.

- Bon matin! cria-t-il. Moi et mon maitre sommes ici pour ce nourrir et nous espérons que votre maison nous accueille chaleureusement.

Roch croyait qu'il avait mal formulé sa parole. Ce qui est fort probable. Un homme dans la quarantaine répondit à la porte.

- Éloignez-vous nous ne voulons personne dans notre maison.

C'est alors que Roch sortit ses makibishi et un kunaï.

- Vous savez, quand on nous refuse quelque chose, je suis pas très délicat, répondit-il.

Roch n'avait aucune intention de lui faire mal, mais il faisait comme Nakano avait fais la veille. Et la même situation se produisit. L'homme apeuré les fit rentrer. Ensuite Nakano et Roch fit la connaissance de sa femme. Pendant le repas, comme vous pouvez devinez, Nakano raconta son histoire interminable. Roch, lui, l'écoutait à moitié en se contentant de manger son délicieux gruau. C'est alors que Roch interrompit Nakano en disant qu'ils allait partir.

Ils était maintenant en route vers le campement. Roch était en pleine forme et il demanda tout excité:

- On comme par quoi?

Maître Nakano eut un sourire à lui fendre les joues. Son apprenti avait déjà tout compris! Il menaça l'homme au seuil de sa porte pour avoir à manger. Le ninja était fier de lui. Nakano avait été si heureux d'apprendre que Roch voulait aller manger au village. Il sautillait, même, de joie. Le bon poulet goutait toujours sur sa langue lorsque son apprenti interrompit ses pensées agréable sur la nourriture en posant cette question :

« On comme par quoi? »

« Tu vas voir, » lui répondit-il par paresse d'expliquer deux fois.

En arrivant au campement, Nakano demanda à son apprentie de sortir toutes ses armes. Ils allaient commencer par le Kunaï. Le ninja lui rappela ses paroles de la veille.

« Tu te souviens ce que j'ai dis? Il faut en lancer quinze en cinq secondes pour être assez bon. Pour être encore meilleur, vingt et même vingt-cinq c'est mieux, Moi, je suis capable d'en lancer trente. Mais avant de lancer, il faut apprendre à viser. Maintenant, usons encore de cet arbre victime de ton entraînement cette nuit. »

En effet, Nakano s'approcha de l'arbre et fit trois trous large de deux centimètres de diamètre. Il expliqua à son apprenti qu'il fallait premièrement qu'il soit capable de viser dans ces trous parfaitement cinq fois de suite sans erreurs. Ensuite, il devra lancer trois kunaï en même temps et qu'ils atteignent respectivement les trois trous. Si il réussit cinq fois de suite cet exercice, il faudra qu'il s'habitue à lancer les kunaïs le plus possible en le moins de temps possible.

« Pour les autres armes, tu t'entraîneras avec moi. Maintenant, je vais dormir un peu. J'espère que tu auras avancé! »

Nakano se retira dans sa tente et s'endormit en moins de temps que de le dire. Il ronflait même. Par contre, une seule attaque et il serait sur pied, les armes déjà en main. C'était ça, être un ninja. Malheureusement, son sommeil ne dura point longtemps. Il se réveilla et il faisait encore clair. Avec un grognement, il se leva et replaça ses cheveux. Il sortit de sa tente et vit que Roch était toujours sur le même exercice, c'est-à-dire le premier. Nakano soupira. Il voyait bien que son apprenti avait considérablement améliorer son tire et son visou, mais cela lui prenait tant de temps à chaque fois pour tirer... Et en plus, il ratait une fois sur deux. Le ninja rejoignit son apprenti et se positionna le dos collé à l'arbre, les yeux rivés sur Roch.

« Je veux que tu lances cinq kunaïs. Ils devront me frôler sans me faire saigner, est-ce bien clair? Et n'ai pas peur, en aucun cas je broncherai, même si tu tires directement sur mon beau visage. »

Avec avec un sourire rempli de défi, Nakano regarda l'hésitation de Roch et son premier tire.